dimanche 9 décembre 2018

Contes de Noël!


Quimper. Des contes 
pour Noël au Musée départemental breton

Le Musée départemental breton de Quimper organise une balade contée avec la compagnie de Douarnenez Mirette-Écoutilles. | DR


OUEST-FRANCE.

Publié le 09/12/2018 à 16h32

Chaque matin, recevez l'essentiel de l'actualité nationale et internationale



Le Musée départemental breton de Quimper organise une balade contée avec l’aide de la compagnie de Douarnenez, Mirette-Écoutilles.

Samedi 15 décembre 2018, le Musée départemental breton de Quimper (Finistère) organise une visite de ses collections, à travers les contes et légendes bretonnes.



Les conteuses de la compagnie douarneniste Mirettes-Écoutilles seront là pour l’occasion. Elles proposent un voyage imaginaire, à la découverte des traditions et du patrimoine de la région.
Elles donnent vie aux objets du musée

Cette déambulation contée permet de découvrir, de façon originale, les richesses du musée, des sculptures de granit aux coiffes de l’époque, en passant par les meubles et la vaisselle. À travers leurs histoires, les deux conteuses donnent vie aux objets du musée.

Soyez vigilant, dans un recoin se cache peut-être un korrigan…


Samedi 15 décembre 2018, à 14 h 30. Durée : 1 h 30. À partir de 7 ans Tarif : 4 € par adulte et par enfant. E-réservation sur le site du Musée Nombre de places limité.



mardi 27 novembre 2018

Vu dans le Ouest-France








Le Musée départemental breton, à Quimper, organise des animations pour découvrir les collections du musée, le premier dimanche de chaque mois.
La visite guidée, « Cinq visages de la Bretagne », permet aux curieux de découvrir les richesses du musée d’une façon originale. Un guide aura concocté en avance une sélection d’œuvres.
Dimanche 2 décembre 2018 , à 15 h. Durée : 1 h 30. Tarif : 1, 50 €. Musée départemental breton, 1, rue du Roi-Gradlon, à Quimper.
Contact : 02 98 95 21 60. E-mail : musee.breton@finistere.fr. Site Web : http://musee-breton.finistere.fr/fr/

samedi 27 octobre 2018

La gravure sur bois en Bretagne par Philippe Le Stum

Gravure sur bois. Philippe Le Stum publie un livre référence

L’historien de l’art Philippe Le Stum publie « La gravure sur bois en Bretagne, 1850-2000 » chez Coop Breizh.
L’historien de l’art Philippe Le Stum publie « La gravure sur bois en Bretagne, 1850-2000 » chez Coop Breizh.

Les passionnés de gravure sur bois y trouveront un beau livre d’histoire de l’art inspiré d’une thèse de doctorat. Le directeur du Musée breton, Philippe Le Stum, publie « La gravure sur bois en Bretagne 1850-2000 » (Coop Breizh). Un ouvrage référence.

Il y a presque cinq ans, le conservateur en chef et directeur du Musée départemental breton avait soutenu une thèse de doctorat sur le thème « La Bretagne dans la gravure sur bois (1850-1950) ». Une somme ! Le fruit de douze années de recherches.
« Une satisfaction en même temps qu’une grande frustration », commente aujourd’hui Philippe Le Stum. « Ce fut une thèse en six exemplaires, peut-être lue par une dizaine de personnes. Moi, j’aime bien diffuser la connaissance, c’est aussi pour cela que je fais ce métier. Je le vois presque comme un devoir : des familles d’artistes, des artistes nous confient des connaissances, j’ai mis à contribution des collections publiques et privées pour environ 3 000 œuvres et images. Il faut transmettre. Ce livre était presque évident », complète le spécialiste de l’histoire des arts en Bretagne, de l’histoire de l’estampe.

Un chapitre sur la création contemporaine


Ce livre, « La gravure sur bois en Bretagne, 1850-2000 », sera publié le 16 novembre chez Coop Breizh. Un ouvrage référence richement illustré. « La Bretagne est une sorte de région test pour la gravure sur bois : tous les courants (japonisme, expressionnisme, militantisme, réalisme, etc.), toutes les techniques (camaïeu, gravure à la japonaise, gravure au bois perdu, en noir et blanc, etc.) y ont été pratiquées par des artistes bretons, français mais aussi venus d’Europe et du monde », résume l’historien de l’art.
Le contenu scientifique de la thèse est préservé, mais il est actualisé. Philippe Le Stum consacre, en effet, un chapitre à la création contemporaine. Les expositions du Musée breton « Impressions bretonnes » (2005) et « Nature de graveurs » (2015) ont joué un rôle déterminant dans les connexions entre le chercheur et les artistes, témoignant d’une sorte de filiation entre les défricheurs d’hier et les artistes d’aujourd’hui.
« Aujourd’hui, graver en Bretagne ne signifie pas nécessairement graver la Bretagne, mais la gravure sur bois n’est pas une technique qui appartient au passé. Elle a ses émules contemporains, qui produisent une création importante, assure une forme de renouveau. Je n’avais pas forcément conscience de cela au moment de la thèse », confie Philippe Le Stum. Les outils se révèlent parfois plus modernes, mais les gestes restent. L’ouvrage à paraître l’illustre parfaitement. Une référence inédite à propos de l’histoire de la gravure sur bois… et du livre.

Pratique
« La gravure sur bois en Bretagne, 1850-2000 », par Philippe Le Stum ; Coop Breizh, 320 pages, 400 reproductions d’œuvres, 39,90 € (prix de lancement jusqu’au 14 novembre), puis 49 €.

samedi 13 octobre 2018

Les vacances se préparent avec plein de nouveautés au musée!
Balade contée pour les 3-6ans et visite Famille avec les 7-12 ans !
Retrouvez le programme spécial vacances : http://musee-breton.finistere.fr/fr/programmation
ATTENTION ces visites sont sur inscription :
-> 3/6ans : http://bit.ly/2QLAXAx
-> 7/12 ans : http://bit.ly/2PZHvKH

jeudi 11 octobre 2018

Un nouveau portail pour la bibliothèque du musée au design coloré et dynamique 😊
Vous y découvrirez les livres illustrés rares conservés et quelques recherches bibliographiques sur des thématiques bretonnes courantes.
Par ici -> http://musee-breton.finistere.fr/fr/la-bibliotheque-du-musee

mardi 2 octobre 2018

Dans la presse


Un livre. Une exposition.Plus que jamais, Jeanne Malivel sort de l’ombre. L’œuvre de cette artiste bretonne hors du commun sera exposée à Paris en 2022. Une journée d'étude s'est tenue samedi à Quimper.


Gwen Lecoin, présidente de l’association Jeanne Malivel (1895-1926). Elle est la fille d’Yvonne Malivel, la plus jeune sœur de Jeanne.

Qu’est-ce qui vous a poussé à créer cette association en 2014 ?
Olivier Levasseur a écrit un livre consacré à Jeanne Malivel. Il est venu dans notre famille pour qu’on lui montre ses œuvres. Y compris un coussin. Je me suis dit, il a disparu, il a été jeté ! Pas du tout. Je l’ai retrouvé à la cave. Je me suis dit, si on ne fait rien, cela va disparaître. Comme Jeanne Malivel est morte très jeune, à 31 ans, la famille a gardé précieusement presque toutes ses œuvres. Il fallait garder ce patrimoine, faire prendre conscience à la famille que tout ça avait une valeur patrimoniale. Son œuvre appartient à la Bretagne.
Avant la création de l’association, comment était conservé le travail de Jeanne Malivel ?
Magdeleine Le Bouffo, qui avait une petite galerie à Loudéac, a conservé la mémoire de Jeanne Malivel. Il faut lui rendre hommage. Elle disait, je suis habitée par Jeanne Malivel. Elle avait cette flamme. Décédée il y a peu, elle a vu la création de l’association. Nous reprenons le flambeau qu’elle avait tenu pendant des dizaines d’années.
Jeanne Malivel était une femme de caractère, une femme militante, une femme courageuse.
Cette ténacité, elle la doit sûrement à ses ascendantes qui étaient de fortes de femmes. De plus, sa famille lui a donné le droit de mener une carrière. À l’époque, c’était loin d’être évident. Ses parents n’ont pas vu de problèmes à ce qu’elle aille à Paris, aux beaux-arts. Les beaux-arts, à l’époque, étaient considérés comme un lieu de perdition. Jeanne Malivel était parfaitement sérieuse. Ses parents, des commerçants lettrés, avaient la plus grande confiance en elle.
On dit de l’œuvre de Jeanne Malivel qu’elle est foisonnante. A-t-elle eu le temps d’aller au bout de tous ses projets ?
Ce qu’elle a fait, elle l’a fait jusqu’au bout. Et bien. Ce n’est pas une œuvre inaboutie mais interrompue. Les gravures ont une force exceptionnelle. Par contre, on a perdu tout ce qu’elle aurait pu faire si elle n’était pas décédée aussi tôt.
Quels étaient ses rapports avec le mouvement des Seizh Breur ?
Elle ne souhaitait pas créer d’association, cela ne correspondait pas à son caractère indépendant. Elle avait rencontré les Creston en 1923. Ensemble ils ont fait le projet du pavillon breton à l’exposition internationale des arts décoratifs en 1925 à Paris. Ce mobilier est présenté au musée départemental breton. Dans les groupes il y a souvent des frictions. Il n’empêche que ça s’est très bien passé. Le pavillon a été apprécié. Elle a eu un prix pour ses céramiques. Mais en 1925, Jeanne Malivel commençait à être malade. Elle s’est mariée, elle a déménagé, elle attendait un bébé… Tout cela a fait qu’elle a été moins impliquée dans le mouvement. Malheureusement, certains Seiz Breur, au moment de la guerre, ont pris des positions que Jeanne Malivel aurait absolument abominées.
Va-t-on découvrir de nouvelles œuvres ?
Il y a des pièces de mobilier extrêmement intéressantes qui ne sont pas exposées. Elles se trouvent souvent dans la famille. Nous avons un projet qui nous tient à cœur. Une exposition regroupera les œuvres de Jeanne Malivel à la bibliothèque Forney (Paris) en 2022. Le lieu, l’hôtel de Sens en bord de Seine, est magnifique. D’ici 2022, il pourrait y avoir une grande exposition, dans un musée breton, au couvent des Capucins (Rennes)… Ce premier colloque permet de mettre tout le monde au travail et de préparer un nouvel élan.Samedi se tenait au musée départemental breton, à Quimper,  une journée d’étude consacrée à Jeanne Malivel, organisée par l’association Jeanne Malivel avec le concours de l’association du musée départemental et de l’association des amis du musée.

A noter: le recueil de correspondance entre Jeanne Malivel et Anne Le Vaillant est en vente au prix de 10€ à l'accueil du Musée breton, à la galerie Théallet, rue Ste Catherine et dans les librairies de la région.

dimanche 23 septembre 2018

Dans la presse

Musée breton. Don et dédicaces d’Anthony Graviano

Anthony Graviano et Judith Datesman, au Musée départemental breton, devant l’une des deux vitrines exposant une partie des œuvres de Paul Fouillen données par le collectionneur américain.
Anthony Graviano et Judith Datesman, au Musée départemental breton, devant l’une des deux vitrines exposant une partie des œuvres de Paul Fouillen données par le collectionneur américain. (Le Télégramme/Jacky Hamard)

Grand collectionneur des œuvres de Paul Fouillen, Anthony Graviano était en séance de dédicaces, ce samedi après-midi, au Musée breton, pour la sortie de son livre consacré au céramiste. Une séance qui avait été précédée par un don au Musée départemental de l’essentiel de la collection privée de cet Américain vivant près de New York.

Tony Graviano est à Quimper ce week-end à l’occasion de la réunion annuelle du Quimper club international, les collectionneurs de faïence quimpéroise, présidée par Judith Datesman. Ce club existe depuis une vingtaine d’années et connaît là son troisième rassemblement à Quimper.
Depuis 25 ans, Anthony Graviano collectionne les œuvres de Paul Fouillen. Sur la centaine de pièces dont il a fait l’acquisition, il s’est surtout concentré sur la période HB allant de 1922 à 1928 pour exprimer son intérêt pour l’art déco.
« Pour Anthony Graviano, c’est une fin d’époque, il a toujours considéré que la collection devait revenir à Quimper », traduit Judith Datesman. Cette année, il a ainsi fait don de quelque 80 pièces sur la centaine de sa collection. Trente sont d’ailleurs actuellement exposées au musée. Ce don vient compléter la collection du musée consacrée au céramiste qui portait jusqu’à présent plus sur la période postérieure à HB.

Cinq cents photos en couleur

Cette fin d’époque se traduit aussi par la sortie du livre réalisé par Anthony Graviano sur le céramiste. Quatre ans de recherche lui ont permis de répertorier 300 œuvres présentant 500 photographies en couleur. Ce livre, en français et en anglais, qu’il a dédicacé ce samedi, reprend par chapitres les différents axes de la création de Paul Fouillen.

Pratique
Site internet : paulfouillenhbquimper.blogspot.com

samedi 22 septembre 2018

Dans la presse

Musée breton. Un collectionneur donateur en dédicace

Créations de l’artiste Paul Fouillen données au Musée départemental breton par le collectionneur américain Tony Graviano.
Créations de l’artiste Paul Fouillen données au Musée départemental breton par le collectionneur américain Tony Graviano.
Le collectionneur américain Tony Graviano a fait don de créations céramiques de l’artiste Paul Fouillen (1899-1958) au Musée départemental breton. Ces pièces seront montrées au public, dès ce samedi, dans la section des céramiques du musée. Par ailleurs, Tony Graviano présentera et dédicacera un livre qu’il consacre à Paul Fouillen, avec le concours de Judy Datesman, ce samedi, à partir de 14 h, au Musée breton.

A lire dans la presse

Jusqu'au 30 septembre, au Musée départemental breton, l' exposition « Artistes tchèques en Bretagne, de l'art nouveau au surréalisme ».

Ouest France

 Les femmes artistes dans l'oubli. Toyen, une   figure de l'avant-garde tchèque

Marie Cermínová, dite Toyen, est un des membres fondateurs, en 1934, du groupe des Surréalistes en Tchécoslovaquie.
Marie Cermínová, dite Toyen, est un des membres fondateurs, en 1934, du groupe des Surréalistes en Tchécoslovaquie. | DR
Marie Cermínová, artiste tchèque, plus connue sous le nom de Toyen, est une figure du surréalisme. Ses tableaux sont à découvrir au Musée départemental breton de Quimper.
Né en 1902 et décédée en 1980, Toyen est une figure de l'avant-garde tchèque. Des tableaux de l'artiste ont été prêtés au musée départemental breton de Quimper (Finistère) par la galerie nationale de Prague, dans le cadre de l'exposition temporaire « Artistes tchèques en Bretagne, de l'art nouveau au surréalisme ».
Toyen étudie à l'école des Arts décoratifs de Prague. « Une formation classique », explique Philippe Le Stum, directeur du musée. « Elle gravite d'abord autour du cubisme. Puis elle se démarque, trouve une nouvelle voie, à mi-chemin entre le réel et l'imaginaire. » Toute l'oeuvre de Toyen se tourne alors vers le surréalisme. Elle rejoint ensuite le mouvement d'avant-garde tchèque. Son art évolue, elle crée même un mouvement avec le peintre Jindrich Styrský : l'artificialisme.

Reconnue par ses pairs

« Ce n'est pas quelqu'un qu'on a oublié et qu'on découvre aujourd'hui, assure Philippe Le Stum. Toyen est une femme libre qui a créé sa propre personnalité en changeant de nom. » Une hypothèse est avancée : Toyen viendrait du mot « citoyen ».
Le parcours de l'artiste et son caractère ont contribué à sa réputation dans le monde de l'art. Amie avec le poète et écrivain français André Breton, elle est reconnue rapidement par ses pairs. En 1925, elle part en France pour quatre ans avec Jindrich Styrský. Elle expose ses oeuvres. Toyen est remarquée par les critiques d'arts. « Les surréalistes étaient attentifs à reconnaître les talents. »

De Paris à la Bretagne

Toyen est également un des membres fondateurs, en 1934, du groupe des Surréalistes en Tchécoslovaquie. Une année plus tard, le groupe invite André Breton et Paul Éluard, à Prague. Les liens de Toyen se resserrent avec les artistes surréalistes français. Des mois plus tard, Toyen et d'autres artistes tchèques sont invités à Paris où ils fréquentent des surréalistes comme Salvador Dalí, Benjamin Péret, Man Ray ou encore Marcel Duchamp.
Toyen se lie avec le poète Jindrich Heisler et repart à Prague. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle revient avec lui à Paris. Elle ne reviendra pas en Tchécoslovaquie après le Coup de Prague, la prise du pouvoir par le Parti communiste, en 1948.
Installée à Paris, elle fera plusieurs voyages en Bretagne, à Ouessant et à l'île de Sein avec André Breton, Peret et Heisler. Toyen dessine, s'inspirant du paysage, des oiseaux et des coquillages. Un de ses tableaux Les quatre éléments est visible au musée.
L'artiste semble avoir toujours été attirée par la région, en témoigne un de ses tableaux Finisterrae (Finistère). « Elle l'a peint bien avant de venir en Bretagne. »

samedi 15 septembre 2018

Journées du patrimoine les 15 et 16 septembre

Journées Européennes du Patrimoine au Musée breton

Murder Party, visites contées, visites décalées, atelier, imposture, lectures noctambules... retrouvez toute la programmation ci dessous.

Inscription en ligne pour la visite couplée "De Gauguin à Mucha : une saison tchèque à Quimper" -> http://bit.ly/2or3UVa

Visite, ateliers et jeux autour de l'exposition estivale " Artistes tchèques en Bretagne"

Inscription pour l'atelier "Réalise ton herbier" au manoir de Squividan : 02 98 54 60 02 ou anne.letailleur@finistere.fr 

 


mercredi 27 juin 2018

Première publication des Amis du Musée breton


« J’étais encore à courir les routes de Bretagne… »

Jeanne Malivel, correspondance avec Anne Le Vaillant


L' association des Amis du Musée breton se lance dans l’édition, avec la publication d’un premier ouvrage, une correspondance inédite de Jeanne Malivel avec Anne Le Vaillant, son amie d’étude.                              
Cet échange épistolaire court de 1920 à 1930 : quelques lettres de la mère de Jeanne Malivel sont publiées après le décès de l’artiste en 1926. Les lettres de Jeanne donnent à voir la vie quotidienne de l’époque, le temps long où l’écriture est le seul moyen de se donner des nouvelles, les péripéties de la traversée de la Bretagne en automobile... Elle offre aussi, en filigrane, la genèse du mouvement des Seiz Breur, à travers les commandes, les projets. Deux avant-propos de Françoise et Marie Le Goaziou, une introduction de Philippe Le Stum offrent divers éclairages sur les auteurs et le contexte de l’époque. 

L’ouvrage, de 96 pages illustrées de documents souvent inédits, est dès à présent vendu au prix de 10 € à l'accueil du Musée breton, au manoir de Squividan et à la galerie Philippe Théallet, rue Sainte Catherine à Quimper, ainsi que par correspondance (02 98 90 18 22).

samedi 16 juin 2018

Atelier de linogravure à Squividan le 27 juin


Dans le cadre des animations estivales du manoir de Squividan, le premier atelier de linogravure de la saison animé par Georges Le Fur, graveur sur bois, aura lieu le 27 juin de 14h à 17h.
,    


Dans le parc arboré où se niche la maison d'artistes, la thématique retenue est  "l'arbre".
Initiation à la gravure pour adultes et enfants (à partir de 10 ans) : 12 €.
Renseignements et inscription par téléphone au 02 98 54 60 02 ou 06 86 23 96 08.
Notez dès à présent qu'une deuxième session est prévue le mercredi 22 août.